Revue de presse

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Avec peu de moyens et beaucoup d’inventions, le metteur en scène et décorateur Adriano Sinivia rappelait combien les italiens savent tirer la représentation du comique fantastique, en stylisant avec humour les lignes du decor aux éléments mobiles pour mieux faire jouer les formes pleines de fantaisie baroque des costumes et des perruques.

Yves Bourgade (février 1991)

Metteur en scène et décorateur, Adriano Sinivia a trouvé le ton qui convient à cette pochade drolissime…

Michel Parouty (février 1991)

Impossible de résister à l’excellent spectacle que propose l’Opéra de Nantes en cette fin d’année!
Adriano Sinivia qui signe non seulement la mise en scène, mais encore les décors, ne s’y est pas trompé. Il a fait à la fois preuve de goût et d’esprit.
A hurler de bonheur!

A.P.D. (décembre 1990)

Dans un décor de rêve baroque, s’active au plus juste Adriano Sinivia, Vénitien de souche comme Goldoni, et maître amuseur comme lui. Un travail de virtuose qui dérape vers la mécanique du rire et le gag.
Chanteurs complices de la lanterne magique du signor Sinivia, imagier au rare savoir-faire.

Roger Tellart (janvier 1991)

Un succulent ballet de cour

Avec « la Perichole » présenté le mois dernier sur cette scène du Grand théâtre, Adriano Sinivia et Offenbach, nous régalaient d’un pétillant cocktail. Aujourd’hui, dans une brillante chorégraphie et une ingénieuse mise en scène, Adriano Sinivia récidive avec Delibes.

P.B. (février 1991)

La mise en scène est plaisante, humoristique. Les couleurs, lumières, costumes, intimement harmonisés, attestent du sens artistique pictural incontestable du metteur en scène …Adriano Sinivia est un réalisateur de talent car tout était à imaginer, créer, mouvementer. Beau spectacle, très en place, qui laisse un souvenir de raffinement, de goût et de travail bien réalisé.

Telbe (janvier 1991)

Adriano Sinvia en fait un spectacle fort plaisant, dont la première représentation a soulevé l’enthousiasme même de ceux qui ne croyaient pas trop à ce genre réputé désuet.

(29 décembre 1990)

Le manque de substance est largement compensé par la virtuosité scénique du metteur en scène italien Adriano Sinivia. Son imagination semble ne pas avoir de limite et, appliqué à une œuvre qui se prête bien à la comédie, à irrévérence, produit un spectacle visuel étonnant, un véritable divertissement.
C’est surprenant de bout en bout, jamais vulgaire.

Florestan